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Du rêve initial de Paul Gérin-Lajoie au capitalisme scolaire : quel avenir pour l’éducation québécoise?

 

SAINTE-THÉRÈSE, 28 octobre 2014 - Que reste-t-il du printemps érable, la plus grande mobilisation estudiantine et citoyenne de l’histoire du Québec? Lors du Sommet sur l’enseignement supérieur, tenu en février 2013 par le gouvernement Marois de l’époque, on a beaucoup discuté d’accessibilité et du financement de l’enseignement supérieur, mais bien peu des finalités éducatives.

Dans cet automne marqué par l’austérité budgétaire, l’éducation est-elle sur le point d’entrer dans un hiver de force, un présent qui la somme de s’adapter sans possibilité d’en appeler? Chose certaine, la crise sociale de 2012 aura fait la démonstration que les Québécoises et Québécois tiennent au rêve de Paul Gérin-Lajoie, celui de permettre à tous les enfants du Québec d’accéder à une éducation de qualité. Mais de quelle éducation parlons-nous?

À titre d’institution d’enseignement supérieur, le Collège Lionel-Groulx lance un vaste chantier réflexif autour des grands enjeux éducatifs contemporains. Le 5 novembre prochain, de 9 h à 12 h, il débute sa réflexion en conviant la communauté collégiale, et tous ceux qui s’intéressent au devenir de l’éducation, à venir entendre l’historien Éric Bédard et le philosophe Éric Martin réfléchir au sens de l’éducation.

 

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Michel Louis Beauchamp, directeur général

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